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Le lundi 21 mars marquait la journée mondiale de la poésie. En vue de la célébrer, l’Union des écrivains gabonais (UDEG) a effectué une visite au CES du Cap-Estérias le jeudi 24 mars 2022. Il était question pour ces derniers de réveiller le poetes qui sommeille en chaque apprenant. 

C’est en présence des membres de la Fédération gabonaise de la poésie urbaine (Fegapur) que l’événement a eu lieu au sein du CES du Cap-Estérias le jeudi dernier. Il était question pour les membres de l’UDEG de commémorer la journée mondiale de la poésie mais aussi de créer l’amour, l’appétit chez le jeune d’écrire vers. 

A cet effet, la présidente de l’UDEG, Pulchérie Abeme Nkoghe n’a pas hésité à énoncer le but de leur descente «Nous avons voulu aller vers les jeunes pour célébrer cet art et susciter en eux le plaisir d’écrire des œuvres poétiques. » a-t-elle déclaré. Notons que dans notre pays les premières personnes à être au contact de la poésie se trouvent dans les établissements scolaires. 

Par ailleurs, les élèves du CES ont été réceptifs au message. Ainsi,  ils ont mis en évidence leur talent en déclamant les œuvres de célèbres auteurs. Une célébration qui s’est terminée sur une bonne note selon Pulchérie Abeme Nkoghe.  «Nous avons eu la preuve que la jeunesse gabonaise est demandeuse d’activités culturelles. Chacune de nos rencontres avec eux, à l’exemple de celle-ci, montre qu’ils n’attendent que nous mettions en place des plates-formes pour exprimer leurs talents » a-t-elle martelé.  

Pour information, la Journée mondiale de la poésie, commémorée le 21 mars de chaque année, célèbre l’une des formes d’expression et d’identité linguistique et culturelle les plus précieuses de l’humanité. Pratiquée à travers l’histoire, dans toutes les cultures et sur tous les continents, la poésie parle à notre humanité commune et à nos valeurs partagées, en transformant le plus simple des poèmes en un puissant catalyseur pour le dialogue et la paix.

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